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Les études permettent d’estimer qu’environ 10% de la population est affectée par ce type de trouble. Les jeunes présentant un TDA, une schizophrénie, un trouble bipolaire sont, par exemple, plus susceptibles de développer une dépendance à l’alcool, au cannabis. Les personnes dépendantes consomment souvent à la fois cannabis, alcool et sont dépendantes aux jeux.

 

Causes et conséquences des addictions

Une addiction perturbe le rendement scolaire et professionnel mais aussi les relations avec les autres, les activités quotidiennes, le travail. En effet la substance consommée affecte une ou plusieurs fonctions du cerveau ce qui perturbe l’acquisition, la compréhension, l’utilisation et le traitement de l’information verbale ou non verbale (émotions, gestuelle).

Ils peuvent entrainer l’apparition de maladies plus graves et difficiles à soigner. Par exemple, la consommation régulière de cannabis et d’alcool peut révéler une schizophrénie, une dépression, des crises d’anxiété. On observe une baisse de l’estime de soi et sans aide une possible désocialisation et donc marginalisation !!

Il est donc important de bien comprendre ces troubles afin de permettre une identification précoce et de mettre en place des interventions adaptées.

Une addiction n’est ni causée ni à l’origine d’une déficience intellectuelle, d’un manque d’encadrement scolaire, d’un manque d’éducation, ou de conditions socio-économiques défavorisées.

 

La problématique des familles

> Identifier et de comprendre le trouble qui gêne leur enfant. En effet, le comportement du proche souffrant d’addiction est source d’incompréhensions. Les incompréhensions entraînent des disputes.  Il s´agit aussi d´apprendre à gérer le quotidien et aller vers une évolution.

Pour les parents, une évolution c’est au quotidien :

> Amener le proche vers une prise en charge

> Pacifier la relation

> Gérer l’agressivité du proche parfois Limiter la descente vers l’illégal

> Aller vers moins de cannabis, d’alcool

> Diminuer la solitude du proche touché et aller vers une intégration sociale. Par exemple reprendre des études, retravailler

> Etre soit même moins fatigué, moins anxieux pour pouvoir soutenir son proche

>Aller vers une hospitalisation parfois

> Apprendre à demander de l’aide et à se prendre en charge.  Être patient et pouvoir se « repenser »

 

La colère revient régulièrement à l’encontre des parents, des proches… Pourquoi nous ?

Sans aide multiple et une bonne connaissance de la maladie, la fatigue se fait vite sentir ce qui n’améliore pas la situation.

Trouver ce qui permettra progressivement à la famille d’être bien, de ressentir un MIEUX-ÊTRE.

 

Le réseau Parents-Agir est à même d’apporter une aide concrète à ces besoins.

Formés, soutenus les jeunes et leurs familles peuvent aller vers un mieux-être en appréhendant mieux le futur.

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