L’Unafam se mobilise pour faire de la santé mentale une cause nationale en 2025 !
Plus d’un tiers d’entre nous sera touché par une maladie psychiatrique au cours de sa vie.
Faire de la Santé mentale une Grande Cause nationale permettrait de poursuivre trois objectifs :
Informer , Prévenir , Déstigmatiser .
La santé mentale parlons-en !
S’informer, se former , Agir
Vous avez un proche souffrant de troubles psychiques, troubles bipolaires , schizophrénie, dépression ….Signez la pétition est aussi un moyen d’agir !
Vous souhaitez rejoindre un groupe de proches aidants sur l’ouest lyonnais contactez nous !
Mercredi 3 juillet 8h30 et 20h30 – durée 1h30 –
Vous souhaitez aider votre enfant à améliorer ses performances scolaires et travailler avec lui pendant les vacances scolaires
Participez à l’atelier pour acquérir trucs et astuces !
Participation: 20€
Lieu : Chaponost
Inscription obligatoire par mail vsezanne@gmail.com ou sms 0650638301
Parents
Vous êtes face à un problème de comportement : colère, opposition, émotions fortes, besoin d’un écran, les notes ne sont pas bonnes ou très variables , oublis continuels, etc.… Vous souhaitez des pistes pour permettre à la famille d’aller vers le mieux.
Participez à l’atelier du 23 mai 2019 20h30 à Chaponost
Participation 15 € .
Inscription obligatoire par mail vsezanne@gmail.com ou sms 0650638301
Mon enfant, mon frère, ma soeur, mon voisin souffre d’un trouble psychique. En France la schizophrénie touche environ 600 000 personnes, les troubles bipolaires , 1.6 millions .
Il ne s’agit PAS de maladies rares.
Ces troubles sont très invalidants pour les personnes concernées et le rôle des aidants dans le rétablissement vers le retour à une vie satisfaisante est très important .
« LES RECHERCHES RÉCENTES PLACENT L’AIDE AUX AIDANTS COMME DEUXIÈME FACTEUR DE RÉTABLISSEMENT DES PERSONNES SOUFFRANT DE TROUBLES PSYCHIQUES, APRÈS LES TRAITEMENTS MÉDICAMENTEUX. »
En France 8.3 Millions de personnes sont des aidants.
Mieux connaitre la maladie, comment communiquer avec les personnes touchées par le trouble est un outil pour permettre à chacun d’aller vers le mieux .
La fondation Fondamental a édité 10 fiches pratiques qui peuvent vous aider
Parents- agir : S’informer , se former, agir , prendre RDV
À partir du 1er octobre 2023, la réforme de la déconjugalisation de l’allocation aux adultes handicapés (AAH) changera le mode de calcul de l’allocation.
Pour les bénéficiaires en couple : seul le bénéficiaire et ses ressources personnelles seront prises en compte dans le calcul de la prestation.
Pour près de 120 000 personnes en situation de handicap vivant en couple, la déconjugalisation de l’AAH se traduira par une hausse de leur prestation.
Cette réforme favorise l’autonomie des personnes handicapées qui bénéficieront, à partir du 1er octobre 2023, d’une allocation individualisée sans dépendre du conjoint et de ses ressources.
Plus d’informations ici
Votre jeune cherche un emploi.
Il a ou non des qualifications .
Il a ou non une reconnaissance de travailleur handicapé .
L’intérim peut être un tremplin vers l’emploi dans les collectivités territoriales (mairies, communautés de communes, établissements publics).
Vous pouvez rejoindre l’équipe des intérimaires du cdg69 !
Les offres d’emploi sont disponibles ici
Il suffit, quand vous déposez votre CV en ligne déposez votre CV en ligne , de cocher la case « accepte les contrats et les remplacements »
Mon enfant, jeune adulte, adulte a besoin de reprendre confiance en lui.
Le bénévolat permet de tisser du lien, de se sentir utile en aidant les autres, de trouver une place dans la société, de reprendre confiance en soi.
Il peut permettre à chacun de trouver du sens à une action .
Pour tous et encore plus pour les personnes fragiles, s’investir utilement dans une association est un moyen de leur permettre de trouver / retrouver une place dans la société et d’être plus heureux.
Il n’est pas forcement simple de trouver une association qui correspondra à son besoin proche de chez soi. J’adopte une asso peut vous aider dans cette voie .
S’informer , se former , agir . Parents -agir prendre RDV Prendre RDV
La nuit de l’orientation revient pour sa 15e édition à Lyon.
Une rencontre interactive pour tous les jeunes qui souhaitent trouver leur voie.
Collégiens, lycéens, étudiants se retrouvent pour s’informer sur les orientations possibles et les métiers en rencontrant plus de 50 entreprises de référence et 40 écoles et centres de formation.
Rendez-vous le 19 janvier 2024 au palais de la Bourse à Lyon!
Les inscriptions sont déjà ouvertes.
La nuit de l’orientation est un moment privilégié pour s’informer sur l’orientation et les métiers.
Pourquoi pas ?
Après la troisième, l’option Création et Culture Design en Seconde puis la filière STD2A (Sciences et Technologies du Design et des Arts Appliqués) dès la Première offre un apprentissage équilibré entre matières générales et disciplines artistiques ; elles donnent ainsi aux élèves les moyens d’exprimer leur créativité dès le lycée.
Le Bac STD2A mène à toutes les filières de l’enseignement supérieur, et de manière priviliégiée aux cursus artistiques, notamment les Bachelors, DNMADE, Beaux Arts et Ecoles Nationales d’Architecture.
Il s’adresse aux jeunes qui aiment le dessin, le design, la technologie ,la mode, la
publicité, la décoration, le design, la photographie, l’audiovisuel, le cinéma .
A toutes fins utiles l’ecole de Bellecour ouvre ses portes le 16 juin !
Les troubles bipolaires touchent entre 1 et 2,5 % de la population, soit entre 650 000 et 1 650 000 personnes en France.
Ils apparaissent majoritairement entre 15 et 25 ans et persistent toute la vie.
Le diagnostic peut parfois prendre plusieurs années.
S’informer et informer les proches pour vivre avec est essentiel.
Ci joint le lien vers l’émission de France TV du 24 novembre 2021. Ecoutez les témoignages permet aussi de ses positionner et d’agir.
Troubles bipolaires vivre avec
Pour les proches , en parler , mieux comprendre , prendre RV avec un professionnel Parents-agir , une association .
Mon ado fume du cannabis , je me suis dit que c’était la période de l’adolescence , que tous les ados fument du cannabis, que cela allait passer , ou je me suis mis en colère etc… Il fume toujours , je me suis dis que cela était du au coronavirus etc…
Attention chaque ado a une sensibilité différente vs le cannabis . Pour certains ce qui n’était au départ qu’un essai se transforme en un besoin …
Je fume car cela me permet de m’évader, je me sens fort , je ne sens plus le regard des autres … Ce qui n’était qu’un joint par mois devient un puis plusieurs joints par jour et cela va devenir l’enfer pour lui , pour les proches . Les résultats scolaires, professionnels ne sont plus là … La conduite est à risques. Il se met en colère .
Le cannabis altère les fonctions cognitives, les résultats scolaires puis les relations sociales durablement . Il peut déclencher des troubles psychiatriques sous-jacents .
Il sera très difficile de rattraper le temps perdu et les fonctions altérées. Il vous faudra l’aide de professionnels de santé , de l’éducation etc..
Votre ado fume même un joint . Parlez en avec lui très vite. Sans vous mettre en colère …. Quelle est la cause de ce besoin ? Comment se le procure t-il ? Que ressent -il lorsqu’il fume ? Quelles sont les conséquences ? Comment pourrait-il s’en passer ?
Votre ado fume ! Parlons en !
NIVEAUX DE CONSOMMATION DE CANNABIS CHEZ LES JEUNES Source : https://www.drogues.gouv.fr/lessentiel-jeunes-cannabis
60 000 jeunes de 17 ans présentent un risque élevé d’usage problématique ou de dépendance
plus de 25% des 18-25 ans déclarent un usage au cours de l’année
39% des adolescents ont déjà fumé du cannabis à 17 ans
-11 points : le nombre d’adolescents ayant déjà expérimenté le cannabis à 17 ans a baissé de 11 points entre 2002 et 2017
La France est au 10ème rang en Europe en 2018 pour la consommation de cannabis des 15 ans au cours du dernier mois
Ainsi, une telle consommation induit des troubles cognitifs, caractérisés par des troubles de l’attention, de la mémoire et des troubles de coordination. Les jeunes qui consomment régulièrement du cannabis ont souvent des résultats scolaires plus faibles.
L’usage de cannabis peut également précipiter la survenue de troubles psychiatriques (anxieux, dépressifs, syndromes psychotiques). Quand elle est régulière, la consommation de cannabis a des conséquences sanitaires à long terme comparables à celles du tabagisme, auquel elle est souvent associée, tels que : risques accrus de maladies neuro-cardiovasculaires, cancers.