On dit trop souvent d’un élève qu’il échoue parce qu’il n’est pas motivé, alors que, dans la plupart des cas, il n’est pas motivé simplement parce qu’on n’a pas su le faire réussir.

Mercredi  3 juillet  8h30  et   20h30 – durée 1h30 –

Vous souhaitez  aider votre enfant à améliorer ses performances scolaires et travailler avec lui pendant les vacances scolaires

Participez à l’atelier pour acquérir trucs et astuces !
Participation: 20€

Lieu : Chaponost

Inscription obligatoire par mail vsezanne@gmail.com ou sms 0650638301

Parents

Vous êtes face à un problème de comportement : colère, opposition, émotions fortes, besoin d’un écran, les notes ne sont pas bonnes ou très variables , oublis continuels,   etc.… Vous souhaitez des pistes pour  permettre à la famille d’aller vers le mieux.

Participez à l’atelier du 23 mai 2019 20h30 à Chaponost
Participation  15 € .

Inscription obligatoire par mail vsezanne@gmail.com ou sms 0650638301

Les troubles bipolaires touchent entre 1 et 2,5 % de la population, soit entre 650 000 et 1 650 000 personnes en France.
Ils apparaissent majoritairement entre 15 et 25 ans et persistent toute la vie.
Le diagnostic peut parfois prendre plusieurs années.
S’informer et informer les proches pour vivre avec est essentiel.

Ci joint le lien vers l’émission de France TV du 24 novembre 2021. Ecoutez les témoignages permet aussi de ses positionner et d’agir.

Troubles bipolaires vivre avec

Pour les proches , en parler , mieux comprendre , prendre RV avec un professionnel Parents-agir , une association .

Mon ado fume du cannabis , je me suis dit que c’était la période de l’adolescence , que tous les ados fument du cannabis, que cela allait passer , ou je me suis mis en colère  etc… Il fume toujours , je me suis dis que cela était du au coronavirus etc…
Attention chaque ado  a une sensibilité différente vs le cannabis . Pour certains ce qui n’était au départ qu’un essai se transforme en un besoin …

Je fume car cela me permet de m’évader, je me sens fort , je ne sens plus le regard des autres … Ce qui n’était qu’un joint par mois devient un puis plusieurs joints par jour et cela va devenir l’enfer pour lui , pour les proches . Les résultats scolaires, professionnels  ne sont plus là … La conduite est à risques. Il se met en colère .

Le cannabis altère les fonctions cognitives, les résultats scolaires puis les relations sociales durablement . Il peut déclencher des troubles psychiatriques sous-jacents  .

Il sera très difficile de rattraper le temps perdu et les fonctions altérées. Il vous faudra l’aide de professionnels de santé , de l’éducation etc..

Votre ado fume même un joint . Parlez en  avec lui très vite.   Sans vous  mettre en colère ….  Quelle est la cause de ce besoin ? Comment se le procure t-il ? Que ressent -il lorsqu’il fume ?  Quelles sont les conséquences ? Comment  pourrait-il s’en passer ?

Votre ado fume ! Parlons en !

NIVEAUX DE CONSOMMATION DE CANNABIS CHEZ LES JEUNES Source : https://www.drogues.gouv.fr/lessentiel-jeunes-cannabis
60 000 jeunes  de 17 ans présentent un risque élevé d’usage problématique ou de dépendance
plus de 25% des 18-25 ans déclarent un usage au cours de l’année
39% des adolescents ont déjà fumé du cannabis à 17 ans
-11 points : le nombre d’adolescents ayant déjà expérimenté le cannabis à 17 ans a baissé de 11 points entre 2002 et 2017
La France est au 10ème rang en Europe en 2018 pour la consommation de cannabis des 15 ans au cours du dernier mois

Ainsi, une telle consommation induit des troubles cognitifs, caractérisés par des troubles de l’attention, de la mémoire et des troubles de coordination. Les jeunes qui consomment régulièrement du cannabis ont souvent des résultats scolaires plus faibles.
L’usage de cannabis peut également précipiter la survenue de troubles psychiatriques (anxieux, dépressifs, syndromes psychotiques). Quand elle est régulière, la consommation de cannabis a des conséquences sanitaires à long terme comparables à celles du tabagisme, auquel elle est souvent associée, tels que : risques accrus de maladies neuro-cardiovasculaires, cancers.

Aider les parents d’enfants tyrans
Quand le pouvoir est pris par l’enfant. Que faire ?

Les parents se sentent dépassés , coupables ou honteux d’autant que que l’enfant se
comporte bien à l’extérieur.
En parler, se documenter, se faire aider individuellement est déjà une étape .

Les équipes du CHU de Montpellier ont développé un suivi spécifique pour accompagner jeunes et parents .

Jeudi 18 mars  de 13h00 à 14h00 en visio
Un moment pour s’exprimer et trouver des pistes de réflexion avec d’autres .
Inscription par mail : vsezanne@gmail.com
Je peux aussi prendre un RV individuel .

Tarif : 15 €/séance .
Devant la situation inédite actuelle liée à la pandémie,  les parents doivent se réorganiser, réapprendre souvent seuls .

A la demande de certains je relance les cafés-parents. 

Le prochain sera sur le thème : «  Concilier travail , télétravail , confinement , difficultés scolaires , me préserver »

Lundi 15 février de 13 à 14h et jeudi 18 février  de 8h30  à 9h30 en visio
Un moment pour s’exprimer et trouver des pistes de réflexion 
Inscription par mail : vsezanne@gmail.com
Tarif : 15 €/séance .

                                             N’hésitez pas à diffuser l’annonce 

Emission du 8 décembre 2020 France TV
Enquête de santé présentée par Marina Carrère d’Encausse

Et si on en parlait !

L’Unafam publie son premier baromètre sur les difficultés des aidants de proches touchés par un trouble psychiatrique <a href= »https://www.unafam.org/actualites/lunafam-publie-son-premier-barometre-et-libere-les-maux-de-45-millions-de-proches »>Baromètre</a>
58% des familles avouent taire complètement la maladie de leur proche ou l’évoquer
avec difficultés.
la stigmatisation isole le malade et son entourage, allonge les délais de diagnostic et retarde par conséquent la prise en charge médicale, mais aussi sociale.

63,2% témoignent de l’incompréhension et de la peur de leur propre entourage face aux maladies.

84,1% dénoncent l’absence de dispositifs d’aide pour leur proche, en matière de parcours de vie, ou encore de compensation du handicap a par ailleurs de lourdes répercussions sociales et économiques sur les proches aidants.

42,9% estiment qu’ils ont été fragilisés économiquement.

Ils sont également 65,1% à affirmer que la maladie de leur proche a eu un impact sur leur propre santé.

Mon proche décroche … Et si on en parlait  ?

Le rappeur français Gringe publie « Ensemble, on aboie en silence », un livre étonnant
qu’il a écrit avec son jeune frère, qui souffre de schizophrénie
La schizophrénie touche plus de 600 000 personnes en France .
Elle est souvent une énigme et une souffrance à la fois pour les personnes touchées et les aidants.
Elle nécessite un accompagnement par une équipe et une formation de la famille à la gestion des troubles.

lien vers le podcast à écouter